Notre société actuelle

comment en sommes nous arrivés là?

Guerres
Envahir,les autres pays et tuer et se faire tuer pour des ressources, de la domination.
Royaume et seigneurs
Il a créé des organisations, des structures pour imposer des visions, des modes de vie.
Certains s'accaparent les territoires, les pouvoirs et créent des élites auto-proclamées.
Dieux et religions
Face à l'inconnu (notamment la mort) l'Être humain a créé des dieux et des religons pour conjurer la peur, donner de l'espoir mais aussi soumettre
Révolution
Les peuples parfois se rebellent sous la pression trop forte des dérives et demandent plus de liberté, de démocratie, de solidarité.
Mais rapidement les mécanismes se mettent en place pour détourner au profit de certains et tout est à recommencer.
La machine s'emballe, l'euphorie du moment disparait et très vite apparaissent des "laisser pour compte".
République
Une démocratie vite accaparée et détournée
Industrialisation
Un apport de bien être et de progrès mais non maîtrisés dans le temps
Travail
Travailler dans quel but? Pour le bien commun? Pourquoi? Pour qui? 
Mondialisation et libéralisme
Acheter et produire ailleurs au détriment de nos emplois et de notre indépendance
Une création de valeurs pécunières pour des profits accumulés par certains

Prendre du recul est alors nécessaire pour redimensionner notre collectif .
Encore faut-il le pouvoir, car les personnes en place ne sont pas prêtes à saborder leurs priviléges.
C'est que nous essayons de proposer dans nos propositions.
  

Les étapes

Que s’est-il passait avec toutes les évolutions?
Pourquoi ces changements?
Est-ce le progrès ou une évolution non maîtrisée?
Au fil des siècles l'Homme  a évolué, emporté par son intelligence créatrice.
A-t-il maîtrisé cette évolution?

L’Humain veut survivre et est angoissé par la peur, la peur de mourir et de ce fait, la peur de l’inconnu, de l’autre.
La nature autour de lui l’impressionne, chaque territoire qu’il explore est une découverte, une surprise, un infini qu’il ne limite pas, qu’il va découvrir au fil de sa vie et des générations.
Il va créer un environnement avec ses proches, ses semblables, s’organiser en collectif, développer ses savoirs, faire travailler son cerveau et pour ce qu’il ne comprend pas imaginer de l’irréel, des esprits, des dieux, des monstres….

Il y aura des dominés, des dominants pour la survie à cause de la peur de l’autre, il tuera, il dominera, il envahira…

Mais très vite l’élargissement des rencontres avec les autres vont générer des conflits de plus en plus nombreux, liés à d’autres sentiments qui vont eux aussi s’amplifier : la jalousie, la convoitise, la rancœur, l’envie de diriger l’autre, le soumettre.

Ses conditions de vie s’améliorent mais en allant plus loin il découvre des richesses, du confort, il va vouloir lui aussi en profiter, il va créer des échanges, de la monnaie, donc encore de la convoitise, de la richesse, de la domination…
Il va encore aller plus loin pour soumettre, imposer sa vision, ses dieux, ses modes de vie et piller.

Au fil du temps les croyances vont créer des Dieux qu’il faut vénérer, adoré, sinon leur foudre s’abattra sur tous se servant à la fois des peurs mais des espoirs promis.

Une hiérarchie de représentants de ces religions va se mettre en place et ils vont très vite prendre la main sur le savoir, l'éducation et les écrits qu'ils vont façonner pour raconter des histoires qui surfent sur la peur et mettent en place des règles qu'il faut respecter pour le "bien" de chacun.

L’ancienneté, la sagesse, le partage du savoir vont laisser place à la domination de l’argent, du pouvoir.
Les plus orgueilleux vont se décider propriétaire des terres, ils vont s’armer et mettre sur la domination les autres plus faibles.

Ils vont se partager les régions, créer des royaumes, conquérir des territoires pour augmenter leur pouvoir, leur emprise, ils vont asservir, taxer et manipuler.
En échange de leur protection contre l’ennemi, l’inconnu, le danger déclaré ou imaginé, ils vont façonner une société basée sur le pouvoir, l’argent, le labeur à leur seul profit.

Ils vont se rapprocher au fil du temps des représentants des religions en créant artificiellement une relation entre le Dieu et eux.

Créer une histoire, des histoires pour faire penser qu’ils détiennent leur puissance, leur légitimité du ou des dieux qu’ils vont créer, renier pour d’autres ou un autre et vont imposer leur éducation, leur hiérarchie, leurs lois, leurs punitions.
Culpabiliser, assouvir, organiser, éduquer un peu.

Vont s'en suivre des guerres de territoire, des conquêtes au nom de propriétés de territoires, de portage de "la" parole.

L’esclave, le serf, n'ont pu envisager de voir évoluer leur futur, mais les classes moyennes ont su s’élever l’augmentation de l’instruction, des moyens d’apprendre, de communiquer qui ont apporté des évolutions dans la qualité de vie, le confort, l’intelligence individuelle.
Il s'agit des professions libérales, intendants, avocats, juges....une ascension sociale devient possible pour eux.
L’augmentation de l’instruction, des moyens d’apprendre, de communiquer ont apporté des évolutions dans la qualité de vie, le confort, l’intelligence individuelle.

Mais "l’élite" a augmenté son pouvoir encore plus d’argent encore plus de taxes, d’impôts, creusant les écarts.

La misère, les charges financières ont entraîné la révolution qui a été un espoir de revenir à des conditions, des équilibres meilleurs.
Mais le pouvoir est revenu sous différentes formes, l’échappatoire de la guerre a généré de la violence et créé de toute pièce des “hommes providentiels” qui n’ont fait que prendre la place des autres et n’ont rien amélioré.
Il a fallu des dizaines d’année avant d’avoir une république réelle mais les règles de bases modifiées ont permis de faire émerger une nouvelle bourgeoisie dominante. 

C’est de tous ces événements, ce déroulé qui nous amène aujourd’hui à notre mode de vie.

C’est le début de l’industrialisation qui verra son essor après les grandes guerres.
Le capitalisme utilise les ressources de la terre (gratuites) et en tire de la valeur.
Le travail apporte de l’argent, du pouvoir d’achat et permet de faire évoluer son niveau de vie.
Un bien être, un progrès social, un confort basé sur la consommation, le désir et le pouvoir de posséder.
La machine qui va s'emballer et créer de la dépendance
L’ascenseur social par le courage, l’étude devient possible.
Des fortunes se créent à nouveau sur le dos de la majorité du peuple.
De grands groupes émergent et étendent leur monopole.
Les groupes financiers spéculent sur l’argent et font plus de profits en manipulant des chiffres, des intentions, des règles inventées, sur un monde fictif inventé par l’homme : l’argent.
L’écart se creuse entre cette élite, les classes moyennes et le reste de la population.

La mondialisation de l'économie devient la règle, ces pouvoirs lobbyistes de l’argent ont besoins de plus de rentabilité face à la  compétition qu’ils se sont créée.
Les profits immatériels se partagent entre eux, le gain est facile, il en faut toujours plus.
Il faut contrôler les territoires pour récupérer les ressources de la Terre, risque à les épuiser, alors n'hésitons pas à déclencher des guerres, à armer telle ou telle faction pour retrouver de l'influence locale.
La pression s’accentue sur l’ouvrier, un seul critère la rentabilité. 
Le salarié souffre de plus en plus, pas forcément à cause du physique comme avant et au début de l’ère industrielle mais par la pression morale et psychologique.
L’Humain on s’en fiche, la pression augmente, l’individualisme s’exacerbe, si tu ne suis pas, tant pis tu sors du TGV qui est en marche.
Tu coûtes trop cher, tu veux plus de salaire, ce n’est pas grave ton usine on la ferme et on va la construire à l’autre bout de la planète là où un peu d’argent va leur suffire.

La marchandise viendra par avion, bateau, tant pis pour la planète.
Les ressources on a l’habitude de les accaparer, elles n’appartiennent pas à ceux chez qui elles se trouvent, ni à la planète et à l’équilibre écologique, elles leur appartiennent parce qu’elles leur rapportent.
Les lieux de ressources (pétrole, gaz, métaux précieux, ...) seront la base des conflits, des influences des décisions.
Les trafics et ventes de drogues et d'armes prolifèreront.
C’est le capitalisme, le libéralisme, l’argent, le profit, la guerre économique du plus de productions et du plus de bénéfices.
La société de marché pousse chacun à  chercher ce qui lui est profitable, exploite les ressources et les hommes 
En plus les grandes surfaces, les produits audiovisuels et numériques augmentent les besoins de chacun et deviennent “indispensables”, ne pas les avoir c’est s’éloigner des nouvelles normes instaurées.  
Cela entraîne une uniformisation voulue et choisie par des officines qui prévoient, analysent en permanence nos besoins, nos comportements et mettent en place des stratégies de marketing et de publicité pour créer les envies qu'ils ont décidé que nous aurons pour leurs produits à consommer, à remplacer puisque vites dépassés ou obsolètes. 

Par le biais des banques et leurs prêts chaque individu devient prisonnier, achat du domicile, de la voiture, etc…
Si tu ne travailles plus ou perd ton travail tu as le couteau sur la gorge alors tu fonces et tu ne te poses pas de questions tu ne peux plus.

Et si par malheur tu te retrouves hors du rouage tu es exclu et là tu tombes dans la précarité voire la misère.

L’ascenseur social n’existe plus vraiment le meilleur est pour une élite qui contrôle tout, il ne reste que l’ascenseur financier plus difficile à atteindre et dans tous les cas au détriment des autres ou sur des bases irréelles, passagères, éphémères parce que génératrice immédiate de gains.

La fermeture des usines, des administrations locales, hôpitaux, tribunaux ont supprimés des emplois, éloigné les services, fait partir des classes moyennes, moyennes supérieurs voire élevées qui apportaient de la vie et du dynamisme sur tout le territoire.
Cette classe “industrielle” libérale n’existe plus, elle est partie vers les grandes villes et a rejoint l’élite qui peut se permettre les centres villes au prix du mètre carré ahurissant où elle a disparu et mise en pré-retraite, chômage ou dégringolade.
C’est ce basculement qui n’a pas été  prévu, analysé et qui provoque le creusement des écarts.
Les retraités de cette génération ont pendant quelques années vécu relativement correctement et aidé leurs enfants en maintenant un équilibre précaire. Mais la baisse des retraites au fil des départs et les hausses des taxes font que les retraités actuels qui ont travaillé toute leur vie se sont affaiblis, ils s’en sortent à peine et ne peuvent plus aider leurs enfants qui sont avec des salaires bas ou même ceux qui sont aux salaires moyens

Une nouvelle classe moyenne actuelle se trouve dans les services qui sont plus aléatoires et plus précaires. Elle rejoint ou est rejoint suite aux aides (nécessaires) par les plus pauvres.

Ce risque de basculement c’est de la dynamite à venir si nous restons sur les mêmes bases économiques.

Revenons sur le numérique, nos dominants ont compris que l’évolution du numérique et de ses outils est un risque pour eux, ils ont décidé de le maîtriser à leur manière.
D’abord en prenant la main sur l’information (radio, télé, chaînes web) et maintenant en s'entendant avec les géants du web qu’ils vont mettre à leur service pour tout contrôler, bloquer là où ce sera nécessaire.
Les nouvelles technologies mises en place sous des raisons de protection (terrorisme, vol…) vont leur apporter encore plus de contrôle. 

La puissance de leur modèle s'est doucement insinué dans tous les rouages de la société, mettant tous les domaines sous la coupe de la rentabilité financière. 

Les élus et partis politiques se sont engouffrés dans le profit du gain en se créant des carrières en se rapprochant des lobbyes qui ont fini par leur puissance par imposer leurs idées, allant même jusqu'à écrire les textes.

La connivence étant forte, que ce soit des élus des différents courants (clivages dépassés et fictifs quelque fois car instaurés pour se partager leurs postes) les marges de manoeuvre  deviennent minimes devant l'économie de marché.
Les électeurs ne voient plus la différence entre les différents partis.
Petit à petit ces grands groupes ont imposé leurs candidats, en utilisant l’argent, les médias, ils ont imposé leur mainmise sur la gouvernance de notre pays, tout est régi par la rentabilité, l’argent. Les normes mises en place sont dictées par eux et nécessitent de "presser" le contribuable.
Il leur faut maîtriser la représentation nationale, mettre des cadres à leur botte.
Il leur faut supprimer, diminuer les échelons locaux et intermédiaires pour tout diriger au niveau national, (moins de députés pour mieux les contraindre, pas de sénateurs car un frein, moins de régions, de commune...) et mieux encore dominer au niveau européen puisque à la tête ce ne sont pas des élus mais des personnes nommées par eux.

Pour éviter toute contestation, les corps intermédiaires ont été décriés, supprimés ou mis de côté, certains subsistent encore pour faire croire à une pluralité mais elle est utopique car sans pouvoir et sans représentativité.

Tout est fait pour dominer, diviser, émietter pour éviter les regroupements et les risques de création de forces contradictoires.

Au niveau européen et international ils ont crée des organisations qu'ils dirigent par leur influence.
Les organismes de contrôle mettent en place des critères qui sont définis par ces mêmes entreprises.

L'objectif étant de protéger leurs intérêts. 

La situation actuelle

La situation actuelle de notre société semble "accablante"

Absence de prise en compte de l'Humain
L'Humain passe après le financier, la rentabilité, l'économie...
Nous sommes mis dans des cases
Nous diviser et nous amener à l'égoïsme
Un logiciel de base ; l'argent
Toujours chercher plus de profits ! Quel sens?
Evolution des techniques non maîtrisée
Tout est-il utile? Tout est-il progrès
La croyance en l'Homme providence qui sait tout
Notre structure démocratique est basée sur la recherche de l'homme providence qui décide seul
Démocratie non aboiutie et fictive
Des institutions non représentatives et dénaturées
Le pouvoir économique a pris le pas sur tout
Le politique, le médiatique, la santé,la jsutice... tout est dirigé par le monde économique
Nous fonçons droit dans le mur
Aurons nous le temps de réagir?

En réalité le bonheur, l’égalité, la fraternité, la liberté, l’Humain, le collectif, la planète sont mis à la trappe.

Nous avons toujours des dominants, avides de pouvoir, des personnes qui s’enrichissent en permanence en faisant travailler les autres, qui vous disent ce que vous devez faire, penser, qui vous soumettent au dictat de religions, marchés, économies, argent,...

Comme leurs prédécesseurs, seigneurs, rois, dictateurs, empereurs, ils sont mortels et n’emporteront pas avec eux, dans l’au-delà, leurs richesses et le lot de souffrances qu’ils auront causées.

Quel a été la réussite de leur vie, qu’elle en a été la qualité, la valeur ?
Comment ont-ils pu détruire la vie de ceux qu’ils ont usés, tués? Et pourquoi?

Quel bénéfice pour l’Humanité, le Monde, la Planète?

Et tout cela continu de nos jours, l’intelligence humaine reste prise en étau par ses paradigmes instaurés, incrustés dans notre éducation, dans notre mémoire, dans notre organisation.

Avec tous les moyens que l’Homme a découverts, créés et qui servent en priorité quelques privilégiés issus des mêmes milieux, qui n’ont plus la même étiquette, mais qui sont la suite des précédents.

Les autres doivent se contenter d'essayer de suivre, travailler, payer leurs taxes, consommer, ils pourront peut être en échange avoir quelques loisirs. 

Nous pouvons créer un nouveau projet de société qui tire profit de toutes ces expériences de ces milliers d’années et des moyens technologiques et humains pour les mettre au service de l’Humain.

Actuellement le tissu social est déchiré, tout est fait pour créer de l'égoïsme, de l'individualisme à travers, la consommation, le matérialisme, le gain.

Une pression énorme s'exerce sur les individus, pression du temps, de l'argent, de la rentabilité, de la productivité, de l'endettement.

Il sera difficile, mais pourtant il le faut, de revenir à l'essentiel de nos besoins, notre raison d'être sur Terre.

Nous ne sommes plus autonome pour couvrir nos besoins, notre nourriture, l'eau, nos achats de nécessité... tout est fourni par l'étranger et/ou par des multinationales et/ou des intermédiaires.

Ce que la nature donne est payant non pas pour elle ou pour ceux qui travaillent à l'aider à nous l'offrir,  mais pour des profits.

La notion d'économie mondiale au lieu d'aider à organiser partager ne fait que creuser les écarts, exploiter et rendre dépendant.

Les inégalités se creusent car les outils de consommation créent des besoins qui sont faciles à assouvir pour certains mais qui posent des problèmes à la fois d'acquisition mais aussi de décrochage en cas de non obtention pour les autres.

La machine infernale préfère aller chercher loin les ressources, les produits  plutôt que sur place, car ce qui compte, c'est le prix d'achat le moins cher pour utiliser, transformer, vendre et consommer en masse partout au lieu de subvenir aux besoins de tous à proximité ce qui donnerait de l'emploi, des ressources et des acquisitions pour tous.  

La fracture sociale et culturelle se creuse, car de plus en plus de personnes vivent en tension pour survivre et les choix qu'ils sont obligés de faire pour eux, leurs enfants ont toujours des conséquences sur leur nourriture, leur santé, leur formation, leur mode de vie, leur lieu de résidence, leur psychisme.

La peur du lendemain est en permanence présente et l'espoir devient mince de s'en sortir, malgré les aides, le travail précaire trouvé, les minces possibilités proposées souvent incomplètes et décalées avec la réalité.

Il n'y a aucun projet de société de civilisation, nous restons bloqués sur des paramètres établis, inventés et imposés par des structures qui n'ont aucune vision d'avenir autre que leurs productivité, l'économie, le commerce, l'argent, la dette, le déficit, le libéralisme, la mondialisation....il faut sortir du cadre.

Des risques énormes nous guettent car le système est fragile, il suffit d'un endroit dans le monde où un événement grave se passe pour que tout vacille.

Plusieurs alertes ces dernières années devraient pourtant nous faire comprendre que tout est instable.

Entre autres : l'épuisement de certaines ressources, le dérèglement climatique, les crashs boursiers, les pénuries, les épidémies, les pandémies, les conflits....

Mais le système continue de produire, de polluer, de détruire,...nous allons droit dans le mur, nous le savons mais nous vivons sans penser à l'avenir des prochaines générations. 

Ce modèle a été crée par l'Homme par sa cupidité, comme il l'a inventé, il n'est pas éternel, il peut le changer, le faire disparaître. 

Le pouvoir politique qui devait être là pour représenter le peuple (démocratie) et en être issu, a été peu à peu miné et pris en main par la sphère économique.Ensemble ils bouclent et manipulent la communication, le système électoral et l'organisation en tirant profit de toutes les situations pour mettre en place une stratégie d'influences et de manipulation.

Si le mécontentement monte, on utilise toutes les techniques possibles pour faire peur et diviser ce qui permet de maîtriser la gouvernance du pays car eux aussi ils ont peur, la peur de perdre ce qu'ils ont..leurs postes, leurs biens

Il n'est pas représentatif de la composition des pluralités de la nation.
Il n'est pas représentatif de ce que l'Être Humain a besoin et qui correspond à sa présence sur cette Terre.

L'Humain a des valeurs en lui qu'il doit partager, la puissance du collectif est forte et le monde qui l'entoure est un univers à protéger.

Il faut donc réinventer cette vie sur terre pour l’enfant qui va naître.
Déliaison à travers les médias et le nouvelles technologies
Culture de l'individu tout puissant 

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